Porte Cailhau

La porte du Cailhau, construite en 1495, était un arc de défense et de triomphe, avec l'effigie du roi. De nombreuses armes et drapeaux sont suspendus aux murs.


La porte du Cailhau surplombe l'enceinte de la ville de Bordeaux, dans le sud-ouest de la France. Construite sous le règne de Charles VIII en 1494, elle était autrefois considérée comme l'une des sept merveilles du royaume. La porte célébrait la glorieuse victoire sur la Guyenne, et a été classée Monument historique en 1883. L'élégante arcade à cinq arches, bordée de statues et de reliefs représentant des boucliers, des drapeaux et des armes, offre un spectacle impressionnant.


Ancien centre du pouvoir royal de Bordeaux, la porte de Cailhau est un point de repère historique important. Vous pouvez visiter ce monument dans le cadre d'une visite guidée de Bordeaux. Elle conserve sa beauté d'origine après avoir été construite en 1498.


La porte de Cailhau est un arc de triomphe situé à Bordeaux, en France, construit en 1495 par le roi Charles VIII pour commémorer son voyage à Naples afin de défendre la revendication française du royaume de Naples. À ce titre, elle est également appelée Porte de Naples.


Construite sur ce qui était alors le bord de la ville, au début du XIVe siècle, cette porte a connu une histoire variée : elle a été fortifiée en 1370, puis à nouveau en 1380 et enfin sous le règne de Charles VIII en 1497.


La porte de Cailhau (porta deu Calhau en 1450) est une porte de la ville de Bordeaux, dans le département français de la Gironde. Elle était à la fois une porte défensive et un arc de triomphe. L'édifice est couvert d'une voûte ogivale sur consoles retenant un passage entre deux maisons qui était divisé par une poutre. Plus important encore, c'est un joyau architectural qui a été bien conservé jusqu'à ce jour.


Sous le règne de Charles VII (1422-1461), cette ville fortifiée a vu la construction de ces portes. La porte du Cailhau a été construite dans les années 1450-57 par Jehan de Chartres et Thomas Bertrand. Sa tour, couronnée d'arcs de mâchicoulis, est flanquée d'un escalier donnant accès à une plate-forme. Un court beffroi à arcades domine les courtines et la sécurité de la ville.


Grâce aux remparts et aux bastions, la ville était protégée des attaques. Cependant, moins d'un siècle après leur construction, l'apparition des canons rendit ces fortifications obsolètes. Ces murailles furent détruites entre 1747 et 1849, à l'exception du Bastion Saint Jacques et de sa porte Cailhau qui subsistent encore aujourd'hui.


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